La Commune a élaboré un Plan Communal de Sauvegarde (PCS), et mets à votre disposition un document d’information communal sur les risques majeurs, téléchargeable ici
le D.I.C.R.I.M, qu’est-ce que c’est ? :
L’article L.125.2 du Code de l’environnement précise que « les citoyens ont un droit à l’information sur les risques majeurs auxquels ils sont soumis et sur les mesures de sauvegarde qui les concernent ».
Conformément à cette réglementation, le D.IC.R.I.M est un document qui vous informe sur les risques auxquels notre Commune peut être exposée.
Il a pour objectif de sensibiliser les habitants aux bons réflexes de protection à adopter en cas de catastrophe majeure, afin que chacun devienne acteur de sa propre sécurité.
le Plan Communal de Sauvegarde, qu’est-ce que c’est ? : La loi 2004-811 du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile impose aux Communes de réaliser un Plan Communal de Sauvegarde et de mettre à disposition de la population un Dossier d’Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM).
Pourquoi anticiper ?
Parce que les catastrophes surviennent sans crier gare, il appartient à la Commune de mettre en œuvre, en amont, tous les moyens nécessaires, pour prévoir et organiser la réponse qui sera apportée, dans l’urgence à une situation de crise. Le plan communal de sauvegarde permet d’apporter une réponse de proximité en prenant en compte l’information, l’alerte, et le soutien aux populations ainsi que la mise en œuvre des premières mesures d’urgence, et l’appui des secours jusqu’au retour à la normale. Pour cette raison, un poste de commandement communal a été créé, définissant les rôles de chacun et chacune en cas de déclenchement du PCS. Nous avons également fait appel à la population pour constituer une réserve Communale de Sécurité Civile, et bénéficier de renforts humains dans une situation de crise. Le rôle de chacun dépendra des circonstances. Les tâches pourront être distribuées en fonction de la disponibilité et de ce que les uns ou les autres sont le plus à-même de faire. Il ne s’agit en aucun cas de se substituer au travail des équipes de secours et des forces de l’ordre, mais d’être présents si des renforts humains devaient être nécessaires.
Nous remercions chaleureusement les personnes qui ont répondu à notre appel pour faire partie de ce groupe et espérons vivement que nous n’aurons jamais à les solliciter.